Jour 35, Bourgenay, tempête Aïtor, un équipier nous quitte …

Mercredi 25 septembre

La tempête annoncée est bien réelle. Nous devons nous rendre à l’évidence, la fin de notre voyage va être sérieusement retardée. Alors que nous avions prévu d’être à Soubise le lendemain, nous ne pensons maintenant pas sortir du port avant samedi.

 

Un dernier pot avant le départ de Bruno

Un dernier pot avant le départ de Bruno

Bruno, la mort dans l’âme, doit se résigner à nous quitter, ayant des engagements de son côté.

 

Bruno nous quitte

Bruno nous quitte

 

Après un solennel pot de départ, un employé de la capitainerie le conduit à la gare des Sables d’Olonne, et  notre équipage nostalgique est maintenant de 3 personnes.

 

 

 

Pour tuer le temps, nous nous penchons sur le pilote automatique obsolète et inopérant du bateau. Nous en concluons que si la partie hydraulique et mécanique est fonctionnelle, l’apport de matériel neuf s’impose pour toute la partie numérique.

Nous en profitons pour démonter les composants défectueux et supprimer quelques câbles électriques inutiles.

 

Vers 17 heures, nous bravons le vent et la pluie pour aller nous rendre compte de l’état de la mer depuis la jetée.

 

La tempête Aïtor sévit encore

La tempête Aïtor sévit encore

 

Le repas du soir est pris à bord, et nous nous remontons le moral avec un verre de rhum en jouant à Skyjo, à trois !

Et ils ne furent plus que trois…

 

(à suivre)

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